Comment la chirurgie esthétique peut-elle vous empêcher de fumer ?

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Les patients ont été invités à déposer des cigarettes pendant un mois précédent toute une opération de chirurgie esthétique, car la nicotine limite le flux sanguin et prévient la guérison de la peau. Une étude canadienne montre qu’il est bon pour la santé publique car elle pousse les gens à quitter des personnes dans l’étude se ferme complètement, s’arrêtent de fumer tous les jours. Les personnes qui ont continué à fumer ont souffert de plus de complications après une intervention chirurgicale. Pas de pénurie de critiques pour la chirurgie plastique et l’industrie du pertinemment pour perpétuer des idéaux de beauté irréalistes.

Mais une nouvelle étude révèle que la pratique a un avantage inattendu, elle aide les gens à cesser de fumer. Avant d’effectuer une chirurgie esthétique, il serait idéal si les patients refusaient de fumer des cigarettes au moins un mois précédent et après la procédure, car la nicotine limite le flux sanguin vers les tissus et, par conséquent, ralentit le processus de guérison de la peau, interagissant avec les processus cicatriciels.
Une étude récente publiée dans l’international Journal of Plastic and Reconstructive Surgery montre que des patients qui s’abstiennent de fumer près d’une opération peuvent s’arrêter complètement.

En plus de cela, il ressort que 40 pour cent des patients de l’étude sont allés de fumer chaque jour à fumer occasionnellement, et 70 pour cent ont déclaré que c’était pour la première fois dans une condition qu’ils envisageaient réellement de cesser de fumer.

Les plaies nécessitent un flux de sang normal pour guérir correctement et commencer le processus de cicatrisation idéal. La nicotine peut réduire le diamètre des capillaires, entraînant une réduction du débit sanguin.

Dans certaines études réalisées chez des patients en chirurgie générale, il a été démontré que trois à quatre semaines de retrait de la fumée de cigarette sont suffisantes avant la chirurgie pour réduire le taux de complications d’environ 20 pour cent.

Cette étude récente et la preuve dans la littérature nous permettent d’envisager de fumer le retrait au moins un mois avant la chirurgie et, pourquoi pas, il est judicieux d’arrêter de fumer en profitant de la préparation à l’intervention pour en acquérir un mode de vie plus sain.