Notre organisme répond à un équilibre particulier que l’on doit respecter. Notre énergie vient de ce que nous mangeons cependant l’organisme va se servir de ce dont il a besoin et laisser les éléments moins bon pour la santé.
Ces éléments ne sont pas nocifs mais peuvent altérer notre métabolisme prisent à de trop fortes quantités. Le sport et une alimentation équilibrée peuvent contribuer au bon fonctionnement de l’organisme et à l’élimination de ces toxines.
Ces recommandations, nous les entendons depuis notre plus jeune âge, mais il est nécessaire d’adopter une discipline de fer pour soumettre.
Le corps est une unité
L’idée que l’on peut retirer des paragraphes précédents est que ce que nous appelons l’organisme ou le métabolisme a un impact fort sur notre bien-être. Nous n’y pensons pas assez mais notre corps est unité.
Il n’y a pas d’un côté l’organisme qui serait un tout mécanique et de l’autre l’esprit qui serait à part.
Le métier que je fais en est l’exemple criant. Les femmes et les hommes qui me consultent évoquent leurs demandes : «nez trop long», «bedaine», «seins trop petits», non pas des modalités isolées de leur relation à leur corps mais comme des entraves à leur épanouissement.
Pour eux, la chirurgie esthétique doit précisément servir de milieu liant, de moyen de réparation dans le cadre d’une relation brisée entre le physique et le psychique.
Ne nous trompons pas d’analyse. On ne peut pas admettre l’idée du corps comme un tout et refuser à la chirurgie plastique d’exister ou la considérer comme une médecine de la futilité.
[maxbutton id= »1″ ]